C'est en constatant qu'à force de passer et de repasser dans un même endroit je ne le trouvais plus beau que j'ai commencé à me poser la question du "beau" dans "l'ordinaire".
Le beau, est une sensibilité personnelle, tout le monde ne trouve pas beau les même choses et chacun à personnellement ces raisons. Mais tout de même il y a des standards de beauté (sans parler des mannequins toutes maigres et géantes), un soleil couchant, un arbre dans un prés, un monument historique, le beau est partout mais à force de le regarder on ne le vois plus.
La photo est un instantané d'une image dans le temps. Elle fige l'image. La photo annule la dégradation du beau dans le temps. Quand nous regardons une image nous ne regardons plus un objet de tout les jours mais sa représentation durant une fraction de seconde, et alors que le soleil se lève et se couche sur la chose en tant que telle, l'image, elle, à une luminosité et un contraste qui ne change jamais. C'est la beautée conservée sur une feuille de papier.
Le grand thème est maintenant composé de parties :
Le beau dans la lacération d'affiches à Paris
Participation au Marché International de l'Art Consacré au Surf
Une vie sur des skis
Les voies du monde
(composé de sous-parties)
Vous pensez bien que ce texte n'est pas fini, mais il est publié quand même.
